Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Sensualité et plaisirs des yeux
il y a 1 an
Cette histoire lie deux mondes qui ne se fréquentent pas souvent : la montagne et la relation Domination/soumission. Certaines choses sont inventées, le reste se base bien sur la réalité. Cela fait suite aux récits des défis, toutefois cette aventure demeure indépendante de la première.
Assis dans un car de la compagnie postale suisse, somnolant au gré des virages je perçois la transition qui s’effectue en moi. La Femme qui m’a choisi qui a saisi le bon moment pour «m’éduquer», a vraiment fait de moi un homme obéissant, l’aurais-je cru il y a seulement 6 mois. C’est une mue récente mais incontestable : la perception que j’ai des femmes ayant un certain profil a été modifiée. Sabine toutefois s’éloigne de mes pensées à mesure que j’approche des montagnes que je vais enfin côtoyer, ce sont ces sommets qui seront désormais maîtres du jeu. Ce sera pour une semaine, au maximum dix jours. Alors que la Maîtresse Femme, Sabine, m’a fait monter vers les abîmes d’une docilité joviale, il lui a bien fallu plusieurs mois. Certes mais Elle peut penser ce qu’il lui chante, aujourd’hui je ne suis plus son homme.
Les sommets alpins oui, mais aussi un guide, patenté celui-là pour m’emmener là je le désire depuis longtemps. Au bureau dans la vallée de Saas ils m’ont informé que la personne sera désignée lors de mon inscription définitive quand je me pointerai chez eux. Drôle de façon de créer un contact avec l’homme dont, en cas de malheur ma vie (et la sienne) dépendra de lui. C’est ainsi, nous sommes en Suisse. Nous entrons dans la vallée et j’aperçois le Lagginhorn à gauche, massif de silhouette. Que dirais-je lorsque se présentera à ma vue les plus hautes montagnes du secteur ?
Il est vrai que je suis un escaladeur peu habitué au 4000 m et c’est mon premier séjour en Suisse. Contrée où par ailleurs les gens sont réglés comme des cou-cous, un petit peu délicat avec la ponctualité. Nous avons convenu de 17h00 (pardon 5h de l’après-midi) ce jour et le car arrive justement au village de Saas-Fee.
J’ai le temps de m’installer dans la chambre de l’hôtel, adorable. L’on est avec moi comme je l’imaginais, courtois, distant, concis avec un mixe d’anglais et de français. En défaisant mes bagages je devine parmi mes T-shirt un blanc que je portait quand Sabine m’avait lié à un arbre dans un bosquet, emprisonnant le corps et l’esprit pour parfaire mes instincts d’obéissance, comme une Maîtresse tisserande ouvrage sur son métier. Je la voyais maintenant comme irrésistible mais aussi odieuse, un personnage à éviter. Peut-être la présence bénéfique des montagnes qui m’extirpent de cette méchante....
Je passe au bureau des guides de Saas-Fee, salue aimablement les personnes qui s’y trouve. Une femme fait l’accueil.
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«Bonjour Roland, allez-vous bien ?» Je m’étonne qu’elle sache qui je suis et que l’on m’interpelle par mon seul prénom. De fait on avait entendu parlé mon français et j’étais l’unique Francophone inscrit cette semaine. Nous discutons de modalités, le dame me demande ce que j’ai déjà réalisé en alpinisme. Dés que j’évoque la traversée des Ailefroides en Oisans je devenais pour elle candidat à toutes les aventures du secteur.
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«Nous ne vous avons pas attribué de guide parce que votre demande n’était pas claire, ce que vous souhaitez faire et votre expérience» Ajouta t-elle.
Il est vrai que j’hésitais entre le Rimpfischhorn pour la difficulté et le relatif éloignement ou le Dom de Mischabel pour son altitude estimable. Du prestige qui m’allait si bien quoi ! L’hôtesse m’annonce alors que le guide sera alors Gina Lantoune, 38 ans. Une femme ! Inattendu mais je savais que la profession s’était légèrement féminisée. La dame me demande si cela pose un problème ; je réponds que si l’on me garantit qu’il s’agit d’un humain tout va bien - le trait d’humour n’est pas relevé. Gina n’est pas en montagne je pourrai donc la rencontrer dés 7h00, le bureau des guides se charge de la prévenir. Je retourne à l’hôtel ranger mes affaires et interroge la tenancière où je peux dîner ce soir. Puis je rejoins la place des chardonnerets au village à l’heure convenue, m’assois sur un petit parapet. Après quelques minutes de retard - je ne comprends plus rien c’est pourtant l’Helvétie ici, les existences cadencées par les horloges - la guide arrive d’un pas assuré. D’emblée c’est une constat indéniable : une personne bien affûtée à la peau au joli bronzage.
Je me lève afin qu’elle considère son futur client dans toute sa splendeur. Nous nous saluons d’une poignée énergique.
- «Bonsoir Roland, le trajet s’est bien déroulé ? Vous êtes bien installé ?»
- «Bonsoir Gina, tout va bien !» Répondis-je avec un sourire plus radieux encore que le sien.
Nous discutons du temps, des conditions en altitude, des modalités, tout comme je le ferais naturellement avec un guide-homme. Mais à mesure que Gina me parle je vois en elle se découvrir le charme que je trouve aux femmes sereines, à l’aise avec le montagnard qui lui était inconnu il y a 15 minutes à peine. Elle me fait le moue lorsque j’évoque mon désir de gravir l’arête nord du Rimpfischhorn. Là-haut la roche a bougé cette saison.
- «Si vous voulais du prestigieux je peux vous emmener au Cervin ou à la Jungfräu. Pourquoi pas faire une voie très difficile, mais il faudra que je vérifie votre niveau et on reverra les conditions.» Tout cela exprimé avec un aimable petit sourire.
D’emblée Gina s’affirme comme étant meilleure alpiniste que moi, ce que je crois aussi et qui est logique puisqu’elle est guide. Nous déciderons en fin de journée demain. Je l’invite à partager le dîner avec moi, elle est navrée de refuser étant engagée par ailleurs.
Le lendemain Gina me conduit à un site pour pratiquer l’escalade durant la mâtinée. Cela se passe bien, cela confirme mon excellente forme du moment. La guide ne relève rien ce qui m’agace, cette dame me prend peut-être de haut. Après midi c’est de la «détente» m’a t-elle indiqué. Une randonnée fort longue qui va nous faire aller au delà des 3300 m. A mi-chemin Gina lancée un peu devant sur le sentier m’attend. La rejoignant elle attrape mes deux mains et les place dans les siennes, au prétexte d’inspecter mon pouls. Je trouve que l’exercice dure pour un simple contrôle ; au reste ce n’est pas utile, je suis le rythme cadencé par la guide. Puis tout à coup, mes mains ainsi emprisonnées je songe à Sabine (je ne saurais énumérer les fois où ma Dominatrice m’a imposé des contraintes telles que celle-là, au trouble mélange d’autorité et de clémence). C’est peut-être pour cela que sachant bien le regard insistant de Gina posé sur moi, j’ai baissé la tête.
Arrivé au point final de la ballade nous nous reposons. Le Dame me montre le Dom, qui apparaît d’ici plus vaste encore que vu depuis Saas-Fee. Gina est redevenu affable; ce n’est plus l’athlète qui dans ses montagnes m’a poussé à une marche rapide à la suite de l’épisode des mains emprisonnées. En redescendant elle me demande de passer au tutoiement, acquiesce car tout sera plus facile ainsi.
Avant que l’on est rejoins le village, elle me montre une paroi gisant aux avant-postes du Dom de Mischabel. C’est comme un haut mur fort raide qui s’arrête brusquement lorsque le versant change ; la vertical est là mais ce sommet parait faiblard vis à vis de l’envergure du Dom.
- « C’est l’aiguille Encerne. Et c’est ici que nous allons nous aventurer.»
Evidemment je suis contrarié, cette aiguille n’a aucune notoriété et adieu les 4000m... Gina devine ma déception, elle garde toutefois un sourire après son annonce, dégage une impression de confiance en elle.
- « Précisément l’arête sud que l’on perçoit nettement, tu penses bien que c’est très difficile à gravir.»
Ainsi la chose est décidée, je ne conteste pas ce choix comme à l’accoutumé avec un membre de la corporation des guides, et encore moins avec Gina qui déjà arrive à me fasciner.
Le lendemain matin, sur la même place ronde que notre première rencontre ; j’attends avec mon sac empli des victuailles nécessaires à la course programmée par la guide et mon équipement personnel. Gina se pointe munie d’un petit sac à dos et d’un autre beaucoup plus grand si bien que sur ses épaules il dépasse sa tête ; tout le matériel dévolu l’escalade qui nous attend. A la suite d’un café, nous embarquons pour une forme d’aventure celle que je souhaite depuis des années. Çà Débute par une marche jusqu’au pied de l’aiguille Encerne, laborieuse car les sacs sont lourds. À un endroit qui correspond approximativement au tiers de notre marche, cernés par le glacier Fee, les crampons deviennent indispensables. Nous les installons à nos pieds.
C’est à ce moment que la dame m’informe d’une chose qui, je ne le sais pas encore, va marquer mon existence :
- « Finalement l’arête je la laisse de coté, c’est la face qui se présente à nous que nous allons gravir. Eh oui Roland avec moi tu bénéficies de surprises ! Et je vais te guider, t’amener à me suivre vers de plaisantes fugues. Commençons maintenant par la montagne ! » dit-elle avant de rire joyeusement.
Cela m’agace car je prends cela comme une moquerie. Mais je ne peux pas m’empêcher d’apprécier son comportement comme cela m’est arrivé avec Sabine au début des défis qu’Elle m’avait concoctés.
- «Tu vois eh bien c’est la voie Lichter-Dabier» ajoute-elle en pointant la partie gauche de ce versant. «Sans être du haut-niveau c’est encore plus dure que l’arête sud. Je n’ai jamais fait ce parcours. Alors Roland, tu auras intérêt à assurer quand tu m’assureras !» Le même rire ponctue sa phrase.
Nous reprenons notre cheminement, des cailloux se mêlent à la glace dans nos crampons. Puis le glacier monte en faux-plat et n’offre plus qu’une étendue blanc-bleuté, capte ma volonté d’accéder à cette enclave toute particulière ceinte de monumentaux sommets, dont le milieu paraît telle une immense lame plantée dans les hautes glaces : l’aiguille Encerne. Les reliefs alentours sont presques accueillant et Gina m’en protégera. La marche devient charmante, mais d’expérience je me méfie tout de même de l’enivrement de ces altitudes.
Voilà le commencement de la paroi à portée de mains; la guide lâche lourdement son sac, je conçois maintenant la taille de son attirail, certainement garni de tout ce qu’il faut pour affronter ce qui nous attend. Gina se tourne vers moi et propose une accolade, je souscris à l’idée qui possède les vertus d’échanges mutuels de chaleurs et réconfort. Ce n’est qu’après, en nous préparant que j’ai perçu qu’elle avait mis sa main droite sur ma fesse gauche. Volontairement bien-sûr !. Nos pieds sont désormais dans des chaussons d’escalade remplacent les pompes de montagnes pas assez techniques pour les passages que nous aurons à franchir.
Les consignes de Gina sont «simples», j’aurai trois choses à réaliser : 1 - assurer la dame avec attention et observer là où elle grimpe et de quelle manière ; 2 - grimper à mon tour sans «perdre de temps» ; 3 - aider le gros sac à avancer lorsqu’il sera tiré par elle via une autre corde que celle qui va servir à notre cordée. Obéissance, obéissance une réminiscence des attitudes Sabine vient, puis s’évanouit. Elle s’occupera du reste c’est à dire l’essentiel. C’est parti ! La début semble aisé Gina est rapidement parvenue à l’endroit souhaité, 40 mètres plus haut. Effectivement je trouve le moyen de monter avec entrain et rejoins Gina. La corde qui nous lie dans cette aventure sera une attache de guide à son coopérateur, de la personne qui passe en premier à son second. Pour l’instant je suis à ses cotés, combler de la savoir puissante en ce lieu à la fois sauvage et exaltant ; je suis bien.
Ricki
Belle histoire. | |
Interessant comme debut, vivement la suite ! |
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